VINGT COLLEGIENS LIBANAIS Lauréats d’un « Concours de francophonie » organisé par la FINUL

Publié le par E.Masboungi, journaliste

 

Lauréats d’un « Concours de francophonie » organisé par la FINUL

VINGT COLLEGIENS LIBANAIS SEJOURNENT DANS DES FAMILLES DE LA GARENNE-COLOMBES

 

Paris, le 23 juin 2011

Elie MASBOUNGI, journaliste

 

Vingt élèves du collège des Sœurs des Saints-Cœurs de Marjeyoun sont actuellement en France où ils résident pour quelques jours dans des familles de  « La Garenne-Colombes » dans la banlieue parisienne. Il s’agit des lauréats  d’un « concours de la francophonie » organisé par la FINUL et auquel ont participé plus de 3.000 élèves des écoles publiques et privées du Liban-sud.

 

Ils sont pris en charge par la mairie de La Garenne-Colombes et profitent pleinement de leur séjour dans la région parisienne puisque leur programme comprend des visites au Château de Versailles, à la Tour Eiffel, à Montmartre avec, en prime une soirée spéciale à l’occasion de la fête de la musique, mardi dernier.

 

Mercredi, M. Philippe Juvin, Maire de la Garenne-Colombes, député européen et son adjoint Yves Perrée ont rencontré les jeunes Libanais (accompagnés d’un enfant de leur âge de leur famille d’accueil) en présence de personnalités de la région et de représentants de la FINUL, d’Air France et d’autres sponsors de l’opération.

 

Dans une des salles de la mairie, la cérémonie a commencé par des mots de circonstance des responsables présents dont le Maire, un officier de la FINUL, la directrice de leur collège, sœur Rita Aoun et d’autres religieuses des écoles des Saints-Cœurs au Liban et dans le monde qui ont rappelé les liens d’amitié séculaires entre le Liban et la France et expliquant aux jeunes lauréats l’importance de ces liens et leur demandant de les renforcer  grâce à la langue française et dans le cadre de la culture francophone.

 

Dans un bref entretien avec « L’Orient Le Jour », le Maire Philippe Juvin qui s’est rendu plus d’une fois au Liban a promis que de telles activités se poursuivraient rappelant que sa ville (d’environ 50.O000 habitants) est liée par un accord de jumelage avec la localité de Daroun-Harissa. Il a exprimé sa fierté d’avoir planté il y a une dizaine d’années dans le parc  de sa mairie un cèdre, symbole vivant de l’amitié franco-libanaise.

 

Les vingt petits invités Libanais rentreront à Beyrouth aujourd’hui après  « un voyage inoubliable et un séjour qu’ils garderont en mémoire toute leur vie », selon soeur Rita Aoun.    

Publié dans ORIENT LE JOUR

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